Ici sera mis en ligne le "Racket" de Mr Philippe ROYBON
grâce à la complicité de Mr Marc BUELLET
Ce que
Mr Philippe ROYBON et Mr Marc BUELLET veulent s'accaparer
Mr Marc
BUELLET, Directeur Régional DR PARIS-FRANCILIENNE
Pour le
déroulé des évènements, voir Fiche SNGA sur le Site Web
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Document
transmis en novembre 1999 au Procureur de la République
LE ROLE JOUE PAR CITROEN
Le
secteur de la distribution automobile en pleine mutation.
En Mars
1997, Le Crédit Agricole (Agence Entreprise de Marne-la-Vallée), en
la personne de Mr. Deschryver, me propose de reprendre la concession
de Citroën Chelles en partenariat avec le gestionnaire de cette
concession.
Après
étude de faisabilité, Mr Buellet, DR Citroën, est contacté afin
d'envisager cette possibilité. Cette stratégie ne semble pas
correspondre à la sienne !
Cette
concession sera revendue à Mr Roybon.
En
septembre 1997, il est, de plus très au courant des difficultés
relationnelles avec Mr Gerbaux Alain, associé. Compte tenu de ces
difficultés, la solution pour maintenir l'activité et l'emploi dans
l'entreprise est soit la vente, soit le passage au statut d'agent
Citroën.
Tout
est fait, de la part de Citroën, pour empêcher cette solution, en
générant des difficultés de gestion au quotidien.
Il
est à noter que, suite à une nouvelle visite que j'ai rendue à la
Direction régionale de Citroën le 25 février 1998, afin d'essayer
une ultime tentative de solution pour la concession, Mr. Buellet
confirme que ceci n'est pas dans la politique de Citroën (en
contradiction de position déjà prise – document joint) ni dans
son optique et que la seule solution, à son avis, est le dépôt de
bilan.
Dès
le lendemain, le 26 et 27 février, Citroën mobilisant
semi-remorques et personnel qualifié, vient reprendre une partie du
stock (890 000,00 F HT, pourtant payé par la concession).
La
déclaration de cessation de paiement sera effectuée le 27 février
en fin de matinée.
Dès
le 5 mars, La Direction Régionale Citroën propose à
l'administrateur judiciaire, Maître Marchier, un repreneur choisi
par eux ( Mr. Roybon). Il n'y aura jamais de proposition chiffrée de
la part de cette personne à Maître Marchier.
Pendant
la courte période de redressement, tout est fait par Citroën pour
empêcher celui-ci (comme précisé à Maître Cognet et Maître
Portolano, ces derniers ayant tous les éléments pour en juger).
La
créance présentée par Citroën a évolué de 4.800.000,00 F en
Mars 1998, à 1.900.000,00 F au second semestre 1998, pour aboutir à
411.000,00 F le 04/10/99.
Durant
des mois, Mr Roybon a essayé d'acquérir le bâtiment. Ayant refusé
et devant trouver un acquéreur pour ouvrir les prêts, le bâtiment
a été vendu à un investisseur, qui avait un locataire potentiel
(?). Quelques jours après la vente (juillet 99), une concession
Citroën est ouverte par Mr Roybon, dans le même bâtiment, avec
reprise du matériel, du reliquat de stock pièces de rechange, tout
le fichier clients et une partie du personnel, dont certains, engagés
dès le début de la période de redressement, sur un autre site.
Maître
Cognet, ainsi que son avocat, Maître Malpel, avaient tous deux
connaissance de ces faits de longue date et aurait dû intenter une
action envers Citroën, ce qui n'a été fait malgré les demandes
faites également par mes avocats. Maître Portolano ne peut donc
intervenir que sur demande expresse du Liquidateur ou du Juge
Commissaire pour défendre les intérêts de la société SNGA et de
ses créanciers et établir les responsabilités dans ce dossier.
*
Courrier établi par Mme Marie Lise GERBAUX, au début novembre 1999, avec
les éléments dont nous avions connaissance à
l'époque et faits que nous avons vécus.
*******
Mr
Philippe ROYBON, voulant acquérir la concession Citroën SNGA à
moindre frais, il fera en sorte
de participer à
sa « destruction »
à
l'aide de son « copain » Mr Marc BUELLET, directeur
régionale la DR Paris Francilienne, de l'époque.
Mr
François BILAN qui achètera officiellement le bâtiment de la
concession SNGA (SCI MULTICOP HEREDIA), le 7 juillet 1999, au
bénéfice de la SCI du 17 rue Denis Papin créée le 28 juin 1999,
aura auparavant recédée ses parts à
la Société ROYBON INVESTISSEMENTS représentée par Mr Philippe
ROYBON, le gérant, le 29 juin 1999 !
Le
23/07/99, une Sarl « ROISSY FRANCILIENNE AUTOMOBILE »,
sera créée, adresse du siège social : 17 Rue Denis Papin à
Roissy en Brie 77680.
Le
gérant est Mr Jacques FAUGERON (Est-ce encore un « homme de
paille » de
Mr Philippe ROYBON ?)
Numéro
d'identification : 423 750 041 RCS Melun
Système
de « voyou », pour ne pas dire plus.
Pendant ce temps là, les audiences au Tribunal de Commerce de Melun n'ont pas lieu, elles seront repoussées par Maître COGNET, et ensuite les liquidations seront étendues à toutes les sociétés du groupe (SCI MULTICOP HEREDIA, SCI CETA, SNGA, NORMAND GERBAUX,et HOLDING GERBAUX) et moi-même en décembre 1999.
Entre
temps, Maître Francois COGNET, aura
saisi le produit de la vente du bâtiment,
4 000 000,00 de Francs, en
me faisant passer pour un "voyou".
Si ce
n'est pas un système mafieux, que peut-on dire ?
Beaucoup
d'informations à venir sur Mr
Philippe ROYBON et la reprise de tous ces actifs matereils,
immateriels et salariale
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DETTE
CITROEN
Courrier du 28 septembre 1999, envoyé par Citroën :
SNGA a fait une DCP (déclaration de cessation de paiement), rappelons-le le 27 février 1998 au matin au Tribunal de Commerce de MELUN.
Dans
ce courrier, Citroën indique qu'ils ont repris le stock PR les 26 et
27 février 1998, ce qui est juste (ils se sont servis avant et après
le dépôt de la DCP, ce qu'il savait très bien).
Par
contre, l'avoir n'aurait pas dû
être de 547 204,39 T TTC, mais de 890.000,00 F HT.
En
effet ceux-ci s'apercevant que dans leurs précipitations, ils
avaient récupérés des pièces de vente « moins courante »,
ils ont voulus nous les réexpédiées ce qu'ils comptabilisent
financièrement dans leur compte.
En
définitive c'est CITROEN qui devait de l'argent à
la concession Citroën SNGA.
En mars ou avril, une réunion aura lieu à la DR Citroën Paris Francilienne, dont Mr Marc BUELLET est le directeur Régional, en présence de Mr Marc Buellet, Maître Michel Marchier, Mme Marie Lise Gerbaux, ainsi que trois responsables de PSA (avocat en particulier) et moi-même.
Lorsque
Maître Michel Marchier annonça
que cette reprise des pièces s'était faite dans dans conditions
condamnables du point de vue de la loi, ces trois responsables firent
« grise mine » et voulurent éluder le sujet.
Ensuite, Mr Marc Buellet, sera remercié par Citroën et deviendra Directeur de la Concession Citroën SAGA du Perreux sur Marne. Je ne sais pas si il y a une relation de « cause à effet », mais il n'y aura pas eu, beaucoup d'évolution pour un directeur de Région Ile de France (plus de 20% des ventes France), son prédécesseur, lui, était passé à la direction de la filiale Citroën Allemagne.
Vous verrez, aussi, ci-joint trois autres échanges de courrier entre Citroën et Maître Cognet, ce qui vous montrera la célérité avec laquelle il traite le dossier.
Cette
célérité sera à rapprocher
de celle qui sera mis en œuvre pour obtenir en une nuit la saisie de
4.000.000,00 de francs de la vente du bâtiment de SNGA le 7
juillet 1999.
Vente du
bâtiment abritant SNGA appartenant à
la SCI MULTICOP
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