Historique Familial

A l'heure de la transparence et aussi en mémoire de ce qu'on construit mon grand-père Mr Robert NORMAND et mon père Mr Guy GERBAUX, je vais vous présenter sur ce blog tout l'historique d'une saga familiale.

Ferme de l'Ayau, propriété de V.Bellanger que cultivaient Henri GERBAUX et ses 4 fils, Michel, Guy, Jacques et Claude.
Il sera maire de Roissy en Brie de 1933 à 1945


Elle a débutée en 1931 grâce à l'ouverture d'un petit garage Renault à Pontault-Combault, par mon grand-père Robert Normand, puis comment certains ont voulu détruire ou s'accaparer, un ensemble de sociétés créées et établies sur Pontault-Combault et Roissy-en-Brie, et comment malheureusement ils ont réussi leur vil besogne.



Et je vous montrerais comment d'autres profitant de leur statut social, ont fait ce qu'il fallait pour êtres les complices des précédents.

Service militaire classe effectuée à Rochefort puis mutation à la BA709 de Cognac. de 08/74 à 07/75 Caporal puis caporal-chef et enfin sergent.


Charles de Gaulle

Tout comme mon Père, j'aurai une immense admiration pour ce Grand Homme, 
qui n'a jamais capitulé !

Les années consécutives à la Seconde Guerre mondiale ont vu paraître un nombre considérable de Mémoires qui, pour la plupart, appartiennent au domaine strictement historique et leur éventuelle survie littéraire est encore problématique.

Un seul point demeure : un grand écrivain qui échappe à la littérature, le général DE GAULLE (1890-1970), domine cette immense production. Les Mémoires de guerre(3 vol., (1954-1959) et les Mémoires d'espoir (inachevés, 1970-1971), comme les Discours et Messages (1970) feront longtemps retentir une prose mémorable.

Page 779

Les mémoires de guerre, dont volume le troisième et dernier volume paru après le retour du général De Gaulle au pouvoir et la fondation de la Ve République, se trouvent encadrés entre un prélude (tome i) et un final (tome III), également exemplaires par leur inspiration et par leur forme. -Thèmes : Histoire, Psychologie. Autobiographie

Toute ma vie je me suis fais une certaine idée de la France. Le sentiment me l'inspire aussi bien que la raison. Ce qu'il y a en moi, d'affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle. J'ai d'instinct, l'impression que la Providence l'a créée pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S'il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j'en éprouve la sensation d'une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la Patrie Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n'est réellement elle-même qu'au premier rang; que, seules, de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même; que notre pays, tel qu'il est, parmi les autres tels qu'ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peur être la France sans la grandeur.

Mémoires de guerre, I. L'appel (Plon. éditeur)

Vieille Terre, rongée par les âges, rabotée de pluies et de tempêtes, épuisée de végétation, mais prête, indéfiniment, à produire ce qu'il faut pour que se succèdent les vivants !

Vieille France, accablée d'Histoire, meurtrie de guerres et de révolutions, allant et venant sans relâche de la grandeur au déclin, mais redressée, de siècle en siècle, par le génie du renouveau !

Vieil homme, recru d'épreuves, détaché des entreprises, sentant venir le froid éternel, mais jamais las de guetter dans l'ombre la lueur de l'espérance.

Mémoires de guerre, III. Le Salut (Plon, éditeur)

Le Lagarde et Michard des Éditions Bordas
Novembre 2003
*******


Mon père en 1987

Comment une femme a poussé au désespoir son mari qui la chérissait, et lorsqu'elle a pris sa retraite, intégrée qu'elle était dans l'entreprise SNGA créée par son fils Claude, a décidé de réduire à néant, ce que trois générations avaient construit, au profit de son fils Alain et de sa femme Marie Christine qu'elle considère comme ses seuls enfants.

Pour leurs actions malveillantes, ils trouveront des complices en la personne d'un directeur régional de Citroën qui trouvera là un bon moyen d'aider son copain qui souhaitait s'accaparer cette concession SNGA, puis ensuite un mandataire judiciaire peu scrupuleux au tribunal de commerce de Melun et de notre médecin de famille qui a l'occasion profitera de la fragilité de mon épouse, à l'époque, pour « abuser » d'elle et s'accaparer notre fils et ma famille.




Sa maison à Pontault Combault au 7 Rue de l'avenir, il y est décédé
le 2 décembre 1987

Au bout de 18 ans et encore à l'heure actuelle mon frère et sa mère continuent leur acharnement a vouloir me détruire. Ils auront même la chance de manipuler un collaborateur d'Oséo et un avocat de renommée pour poursuivre leur vil besogne, et nous spolier de ce que nous avions construit.

Je continue ce combat qui n'est pas encore terminé pour mon fils Cédric, que je n'ai pas pu accompagné dignement depuis qu'il a 8 ans, il va sur ses 26 ans; et pour Marina ma nouvelle épouse russe qui supporte avec bienveillance nos difficultés journalières depuis tant d'années et croyait en mes possibilités de « rebondir », je dois continuer à me battre, mais que cela est difficile, malgré que l'on veuille tout me prendre.


 ********
 
Quelques dizaine d'heures avant de décédé à l'âge de 63 ans en décembre 1987, mon père Guy GERBAUX apprendra que ma femme, d'alors, attendait un « heureux évènement ». Il ne connaîtra ni Cédric ni sa cousine, fille cadette de Mr et Mme Alain GERBAUX, née quelques mois avant Cédric.


Ces deux là étaient fait pour s'entendre, mais Mme Aline GERBAUX fera tout avec sa belle-fille Marie Christine GERBAUX, pour qu'il en soit autrement.


                       
               

C'est dans ce jardin qu'il me dira 48 heures avant de décéder, alors que comme je le suppose de nombreux pères, surtout à l'époque, ne font pas de compliments, j'ai 36 ans et pour la première fois que mon Père me dira « je suis fier de toi » (parlant de la concession Citroën et de tout ce que j'avais entrepris).

Et c'est le soir, lorsque nous leur avons rendu visite Marie Lise et moi, qu'il était à table (bien sûr ce n'était pas celle-ci) que l'on lui a annoncé qu'il serait grand-père (Il était déjà grand-père du coté de ma sœur et de mon frère.), sans doute en juillet 1988, Marie Lise venant juste de l'apprendre grâce au test.